NOUVEAUTÉ 2023
Natif de Liverpool, Lewis Evans arrive en France à l’age 10 ans et débarque en Normandie région Française en face de l’Angleterre. Il se met très vite à la musique et fonde plusieurs groupes de rock dont The Lanskies où il sera Front man plusieurs années. Il commence sa carrière solo en collaborant avec des artistes tels que Keren Ann, Juliette Armanet, ou bien encore Gaëtan Roussel (Louise Attaque). Il y a 4 ans il commence les compositions pour lui et sortira avec le label ZRP 2 EP et l’année dernière son album L’Ascension ! Depuis il enchaîne les concerts en France avec son groupe. Lewis Evans c’est de la folk mélangé à la pop music anglo-saxonne !
Après 2 albums, un EP, des collaborations prestigieuses (Keren Ann, Juliette Armanet, Herman Dune, Gaëtan Roussel), Lewis Evans a sorti son troisième album « L’Ascension » mi-mai 2022 chez ZRP : Retour de la confiance en soi, stimulation de l’intellect, effet antidépresseur… Pour les psychologues, convaincus de longue date des bienfaits du jardinage, Lewis Evans serait un formidable cas d’école : au printemps 2021, devenu stagiaire au service espaces verts de Granville, en plein toilettage d’une haie, il a retrouvé le sens de sa carrière musicale. Depuis des mois, il la regardait dans le rétroviseur, après avoir vendu ses guitares, archivé ses souvenirs de frontman des Lanskies et oublié ses années solos marquées par de belles collaborations (Juliette Armanet, Keren Ann, Herman Dune, Gaëtan Roussel…). Trop difficile de vivre de son art, trop de responsabilités, trop de questions. « En me libérant de ces contraintes, je me suis aperçu ce jour-là qu’il me restait le pur plaisir de la musique, se souvient Lewis. Sécateur en main, des mélodies me sont venues comme des révélations. Sans rien planifier, en quelques semaines, dix nouvelles chansons étaient prêtes à enregistrer. »
Le résultat de cette épiphanie horticole, « L’Ascension », sur ZRP, le label d’Isabelle Chapis est une envie de re-gravir la pente mais sans recommencer la même chose. À son habitude, Lewis Evans charpente ses chansons intimistes comme autant de tubes, une science inspirée du songwriting de Leonard Cohen, des épopées d’Echo and The Bunnymen ou des hymnes d’Oasis. Fred Buchet, fidèle arrangeur depuis 2016, est de nouveau venu marier mandolines et guitares acoustiques lors des 15 jours de séances estivales à L’Abbaye, une grande salle prêtée par un ami. Mais cette fois, Lewis, grand fan de la pop délicate de The Divine Comedy et des innovations sixties des Beatles, Yardbirds ou Kinks, enrichit ses compositions de textures audacieuses. Des cuivres rendent hommage aux fanfares du nord de l’Angleterre qui ont marqué cet enfant de Liverpool. Tombé amoureux du violon d’Émilie Corre, Lewis Evans le fait parfois loucher vers un Orient envoûtant, tout en convoquant le souvenir d’une K7 de musique celtique entendue mille fois lors de vacances en Cornouailles, dans les années 70. Les chœurs de Jayde et du Rouennais Gordie Chambers complètent la palette, mixée par Olivier Legoupil au studio Pickup.